Un groupe de proches du général Alto Julio de los Santosqui était chef adjoint de la sécurité de l’ancien président Danilo Medina, ont été inclus dans le accusation déposées par le ministère public contre les personnes impliquées dans l’affaire de corruption corail Oui Corail 5G.
Dans le accusation L’accusé est l’épouse du général Viola, Mme María del Alba Trinidad et ses parents, identifiés comme Elida María Trinidad Santiago, et Manuel de Jesús Alba Solano.
Soi-disant, l’épouse du général a servi de figure de proue à son mari pour placer à son nom des biens acquis avec des fonds volés au Corps de sécurité présidentiel (Cusep).
Alors que les parents de cela, apparaissent également avec un grand nombre de propriétés, dont le véritable propriétaire est le Général De los Santos Violadit le ministère public.
Les beaux-parents du général Viola se voient attribuer plus de dix parcelles, des lots, un appartement sur six niveaux, et ils apparaissent comme actionnaires de 60% et 40% des sociétés. Ils ont également un penthouse à Torre Elsa, secteur Gazcue, tout cela étant la femme une concierge et l’homme un éleveur d’animaux.
Un beau-frère de Viola identifié comme étant Manuel Antonio Alba Trinidad fait partie des accusés.
Aussi neveux et frères
Le accusation indique que De los Santos Viola a acquis 11 propriétés consécutives (consolidées en terres), dont quatre à son nom, une au nom de sa sœur Magnolia de los Santos Viola (pas parmi les prévenus), trois autres au nom de son neveu Raymel Pastor del Rosario Viola, qui est formellement accusé de blanchiment d’argent, et deux autres au nom de sa nièce Onoris Beatriz Soto de los Santos, qui apparaît également dans le accusation du Parquet spécialisé dans la poursuite de la corruption administrative (Pepca).
Les accusations au général
Le général Viola était chef adjoint du Corps de sécurité présidentiel de l’ancien président Danilo Medina, il a été nommé à ce poste par le général de division Adán Cáceres.
De los Santos Viola aurait augmenté sa richesse de manière exorbitante en 2020, lorsqu’il “a fait ses plus gros achats de nouveaux biens immobiliers”, déclarant 23 propriétés immobilières évaluées à 65,7 millions de pesos.
Mais Pepca dit que “lorsqu’on compare les revenus perçus et la quantité de biens acquis, ainsi que le mode de vie de l’accusé et la communauté de biens de celui-ci, il n’y a aucune preuve d’une corrélation entre eux”.